• coccinelle 

    Les pucerons n'auront qu'à bien se tenir avec l'émergence, ces derniers jours dans les buissons de menthe sauvage, d'une surprenante abondance de coccinelles venues passer "Spring Break", ou du moins ce qui ressemblait à un grand rassemblement de nymphes fêtant l'obtention de tous leurs points et par là même le passage à l'âge adulte, avant d'aller en découdre avec le reste de la faune locale… 

    coccinelle

     


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  • Cœur de rose

    À y regarder d'un peu trop près… 

    Demi-lune

    Où d'un peu trop loin…

     


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  • D'une forêt à l'autre...


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  • ruine, mystère, bambous

    D'ailleurs, en parlant de pionniers et d'exploration, il n'est pas forcément nécessaire d'aller bien loin pour trouver l'aventure (à l'échelle d'une après-midi) ; comme me le rappelle ce moment exotico-rural passé de l'autre côté du feuillage à l'angle d'un petit chemin de terre, où ces quelques vestiges rendus à la végétation offrent à l'imaginaire un cadre insolite permettant de se remémorer ces bribes d'histoires d'autrefois que nous ont transmises nos anciens, ou le plus souvent de s'inventer un passé mystérieux, mélancolique ou pourquoi pas merveilleux.       

     


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  • jeunes pousses, plants 

    Ce sont probablement les incantations répétées du mystérieux coucou revenu d'exil pour animer nos forêts d'avril, qui auront réveillé une à une ces petites graines endormies, que j'avais patiemment semées au cours des semaines précédentes. Tout le travail de préparation et d'accompagnement accompli jusqu'à lors soudain s'efface devant ce fascinant déploiement de vitalité, presque visible à l'œil nu, et dont je redeviens l'humble spectateur confiant que quelque part au cœur de ces fines feuilles fragiles est contenu l'espoir de récoltes généreuses…

    Être confiant c'est avant tout accepter l'idée qu'un potager se partage avec ses habitants, sous une météo prévisible mais incertaine, et qu'au final tout le monde devrait y trouver son compte.

    Pour l'heure seul de rares actes de vandalisme perpétrés par quelques jeunes mollusques fraichement éclos sont à déplorer et le spectre de l'invasion des gastéropodes (lents mais ô combien furtifs), ne semble pas encore planner sur les premières plates-bandes.

    Ce n'est cependant qu'une question de jours avant que ne grandisse l'appétit féroce de cette nouvelle génération d'escargots à la coquille encore fragile et de limaces découvrant à peine qu'elles sont des limaces, et qu'il ne faille prévoir les traditionnelles parties de cache-cache, avant que ne plane sur eux à leur tour un autre spectre…  celui des poules carnivores ! En attendant ce n'est qu'une simple obligation de quitter le territoire avec reconduite à la frontière qui s'applique…

    Limace, flagrant délit

    Il est d'ailleurs temps aujourd'hui de permettre aux jeunes plants les plus vigoureux de quitter la poupinière (une pouponnière pour végétaux improvisée wink2) pour aller vivre au grand air et planter leurs racines dans ce qui fut jadis le plancher des vaches. Je serais probablement le premier gars du coin à avoir déjà planté son maïs*… mais bon, à défaut de certitudes sur la marche à suivre, il m'arrive encore de préférer suivre l'inspiration du jour, afin de préserver cette douce sensation d'avoir l'esprit pionnier dans ma propre aventure ! happy

    plantation du maïs 

    *Maïs doux bien-sûr ! 


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