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Où en étais-je ?! Ah oui… juillet !
Contrairement à la télé (qui ne m'a pas manqué depuis le grand déménagement), ce n'est pas l'arrivée de l'été et des vacances qui ont signifié l'arrêt temporaire des publications sur mon calepin digital, mais plutôt un regain d'activité visant d'une part à refreiner les assauts d'une verdoyance surexcitée rendue envahissante par un cocktail d'eau de pluie et de douceur ambiante, d'autre part à avancer avec patience et résignation sur les différents chantiers laissés en suspend (maintenant qu'il est clairement établi que Burga'Rome ne se fera pas en un jour*), et surtout d'aller puiser dans un futur idéal les idées enthousiasmantes qui me poussent à explorer le chemin qui y mène tant que dure la belle saison et que ma cigale intérieure consent aux élans myrmécéens que cela suppose…
Depuis juin au potager, qui n'a pas eu trop à souffrir de la soif comme cela aurait pu être le cas l'année passée, il y eu bien sûr :
d'immanquables levers de lune,
des orages spectaculaires,
suivis de soirs d'orage bibliques,
une plage dorée à l'or fin,
des kilomètres parcourus et de belles rencontres.
Une fête païenne (et surtout branchée) improvisée pour le solstice…
et pour faire place à tout ce qui reste encore à élaguer.
L'éveil du premier tournesol (d'une rangée qui peine à grandir afin d'équilibrer le bilan carbone),
des sentiers dans la montagne verdoyante…
dont l'un d'eux mène jusqu'à l'eau fraiche et revigorante d'un lac d'altitude.
Et enfin (malgré le mildiou qui cette année semble faire du dégât alentour) :
les premières tomates !!
* je sais… 20 centimes dans le nourrain
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